Souvenez-vous, l’anecdote du Renault Trafic…
Sur ce, je vais aller jeter ma balance, et pleurer un peu de joie et de désespoir, pleurer, ça permet les deux, c’est bien, les hormones, pardon…


Souvenez-vous, l’anecdote du Renault Trafic…
Sur ce, je vais aller jeter ma balance, et pleurer un peu de joie et de désespoir, pleurer, ça permet les deux, c’est bien, les hormones, pardon…
Je voulais le faire, régulièrement, mais j’ai beau essayer, je n’arrive pas à stopper le Temps, en faisant bouger mon nez comme Samantha, en faisant tchâ avec mes mains comme Piper, en m’adressant à mon mystérieux chat sûrement aussi sage que celui de Sabrina, mais même l’élite ne peut rien pour moi…
Voilà des notes qui m’ont beaucoup plu ces derniers temps :
Le regard acéré d’une enfant sur sa mère, chez Mathou :
L’impertinence d’une maîtresse (bin oui, je sais, circuit fermé, tout ça…) en mission d’espionnage sociologique, éprouvant pour les nerfs, quel talent… chez Samerlipopette qui s’est aventurée dans le milieu très sélect des mères du portail de l’école :
Et enfin la joie de savoir que mon désarroi, devant l’atrocité du sentiment ressenti lorsque l’on se prend un vent affectif, est partagé par d’autres… chez Pulupulu qui tente d’apprivoiser l’insensible Miko (en plus, ça bouge !) :
Que du bonheur…