prejuges

Nan mais ras-le-bol de me faire entendre dire que je suis une privilégiée qui ne fiche rien… Marre de ce procès infini dans lequel je maintiendrai simplement que si, c’est un métier, (et qu’il s’apprend), si c’est fatiguant, si, c’est du boulot et de sacrés responsabilités, non, je n’ai pas trop de vacances (l’éducation nationale peine à recruter, si c’était un telle planque, il y aurait des enfants et des femmes de députés à bord…).
A quel autre corps de métier on renvoie ce type de réflexion (à part les cheminots, je veux dire), sans demander quelle peut être la source de fatigue ? Je suis enseignante, je n’ai pas le droit de dire que je suis fatiguée ? Bon sang, je ne demandais rien, je n’étais pas dans son cabinet pour moi, c’est venu sur le tapis pendant la conversation… Il y a tellement de raisons qui peuvent surmener une personne… Mais quel mépris… Je l’aimais bien ce médecin, oui, je vais suivre son conseil, prendre du recul, et chercher un autre praticien…

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